Avoir le cœur sur la main : être généreux et bienveillant.
La bienveillance est une qualité. Vouloir le bien d’autrui avec la volonté de le rendre heureux.
Se soucier de son prochain, lui venir en aide et le traiter comme l’un des siens d’où qu’il vienne.
C’est ce que l’on doit apprendre ou réapprendre.
Un partage de connaissances.
À l’époque de l’Égypte ancienne, les peuples étrangers ont été accueillis par nos ancêtres qui déjà ont su montrer leur hospitalité et transmettre ou initier ces étrangers à leur savoir. Nos connaissances n’ont pas été gardées mais plutôt diffusées à quelques-uns qui ont fait le choix d’en faire profiter une élite, une confrérie, une société secrète peut être et en s’assurant de garder le secret pour asseoir leur domination sur les autres populations. L’hermétisme a eu cour au moyen-âge et à la renaissance puis continue à être pratiqué par des initiés. Des personnes qui seraient capables de décoder, décrypter des messages présents dans les arts et textes anciens ou encore percer des mystères qui restent encore des énigmes pour une grande partie d’entre nous.
Nos ancêtres étaient privilégiés car ils avaient tout en abondance. Une terre fertile, des ressources naturelles inestimables mais aussi et surtout une connexion avec le cosmos leur permettant de comprendre le lien entre chaque créature composant l’univers. Toutes vivant en parfaite harmonie.
Les philosophes et mathématiciens grecques se sont formés dans les écoles des mystères égyptiennes et ont instruits les européens par la suite. Les messages ont été partiellement transmis puisque certains demeurent encore inaccessibles. La création des pyramides demeure toujours un mystère. Mais est-ce vraiment un mystère pour nous tous ou y a-t-il des hommes connaissant la technologie utilisée pour bâtir de tels monuments?
Le temps fait son œuvre ; un savoir accessible à tous.
Heureusement, malgré la volonté de maintenir les masses endormies, le savoir est destiné à être révélé à tous. Certains prêchent et apportent la bonne nouvelle, d’autres s’interrogent, font des recherches et trouvent des réponses qui remettent en question leurs croyances et l’histoire qu’on nous a racontées. Morpheus a laissé le choix à Néo quant à la pilule à ingérer. Qu’en est-il du nôtre? Voulons-nous continuer à croire à une histoire de moins en moins crédible ou connaitre la vérité? La vraie, celle qui n’a pas été altérée par les vainqueurs.
Un monde où domine la manipulation et le mensonge.
J’ai entendu il n’y a pas longtemps une histoire qui personnifiait la vérité et le mensonge. Celle-ci racontait qu’après s’être baignées, le mensonge est sorti de l’eau avant la vérité et lui a pris ses vêtements. Depuis ce jour, le mensonge se fait passer pour la vérité et cette dernière n’intéresse personne car on détourne le regard en la voyant nue.
Nous vivons dans un monde où le mensonge et la norme. Toute information, d’où qu’elle vienne doit être remise en question. Les politiciens, les médias nous font croire ce qu’ils veulent parce que leurs intérêts ne sont pas compatibles avec les nôtres.
Cette bienveillance dont je parlais au début, cette bonté d’âme, cette compassion naturelle que l’on observe chez les hommes est une caractéristique qui selon moi ne concerne pas tous les hommes qui peuplent la Terre. Certains comportements illustrés par la volonté d’appauvrir des communautés, maintenir inconscients des groupes de personnes, réduire des populations par des guerres, des maladies me font dire que parmi ces hommes se cachent des individus ayant les traits humains sans en être réellement. Des infiltrés qui se trahissent par l’absence d’empathie. Des hominidés en apparences mais des coquilles vides. Pas de cœurs, pas d’âmes et une détermination sans faille à gouverner, exploiter, manipuler et contrôler.
Du pain et des jeux.
Nous voler notre temps pour nous empêcher de penser, réfléchir et comprendre la réalité du monde dans lequel nous évoluons. Se réveiller chaque matin, nous rendre au travail, rentrer chez nous, regarder notre équipe favorite ou notre série préférée et aller se coucher. Le lendemain rebelotte, cette bonne vieille routine qui nous rappelle que nous ne sommes pas libres. La plantation est toujours là mais sous une forme plus douce. Une prison dorée qui tue à petit feu et qu’on aurait tord de ne pas essayer de quitter. L’époque des jeux de Rome n’est pas si loin. La stratégie est toujours la même. Nous divertir par des joutes verbales en politique, entre deux camps qui en réalité servent le même maître. Et puis je ne serais pas surpris que le républicain et le démocrate jouent au golf ensemble en se disant que le débat de la veille était un beau spectacle.
En définitive, il est important de prendre conscience de ce qui se joue. Les inégalités sociales, les différences culturelles, religieuses, le patriotisme, la génération ou la catégorie sexuelle à laquelle on appartient ne doivent plus être considérés comme des différences qui nous opposent. Nous devons en faire abstraction et identifier la réelle menace qui pèse sur nous. Celle que constitue un petit groupe d’individus dont le but inavoué est d’exacerber ces différences afin que leurs intérêts soient préservés et leur pouvoir toujours plus grand. Nous ne sommes pas destinés à être asservis éternellement et encore moins sans en avoir conscience. Ce système est injuste mais va perdurer si personne n’ose le dénoncer.
Cherchons la liberté, la vraie pas celle qui est une illusion et demandons-nous pourquoi vouloir s’adapter à une société malade?